Journée internationale contre les violences faites aux femmes

Journée internationale contre les violences faites aux femmes

? « Je suis en train de lire votre œuvre « Hapiness Palace » et comment dire… j’aurais pu écrire cette histoire, car ceci est mon histoire . Merci énormément pour ces mots que vous avez su poser sur la violence conjugale, ce traumatisme qui nous suivra toute notre vie… Vous avez su répondre à merveille a cette question dont je n’avais pas les mots « pourquoi être restée avec ? ». Je ne vous remercierai jamais assez d’avoir écrit ces mots que toutes femmes battues ne trouvent pas . MERCI ! » ?

Parce que le droit des femmes est une valeur que j’ai toujours eu à cœur de défendre, dans la vie, comme dans mes romans, ce témoignage d’une lectrice fut un véritable déclencheur pour moi.

Happiness Palace, où ce jour au cours duquel j’ai décidé d’écrire un roman feel good, mettant en scène une jeune femme qui tente de reprendre le cours de sa vie après avoir connu le pire.

Ce témoignage m’a bouleversée, en tant qu’auteur. Parce que mes mots avaient eu un impact pour quelqu’un. Parce que j’étais parvenue à aider une lectrice, d’une manière ou d’une autre. Parce qu’il ne s’agissait plus seulement d’une fiction, mais d’un soupçon d’espoir, de foi en l’avenir, et que ça touchait le cœur d’une jeune femme qui avait, comme mon personnage Amy, vécue sous le joug de la violence conjugale.

Si déjà, j’aimais défendre les causes qui me sont chères au fil de mes romans, ce jour là, j’ai compris à quel point un livre pouvait avoir des vertus encourageantes, réconfortantes, bienveillantes.

Traiter d’un sujet si lourd, dans un roman feel good… dans le genre complexe, on ne fait pas mieux, et pourtant… l’idée, était de se focaliser sur la reconstruction, la résilience, et sur ce refuge chargé d’amour qu’est le Happiness Palace, afin de montrer qu’il existe un « après » possible. Un « après » fait rêves, de sourires et des jolies choses de la vie.

《 Happiness Palace, l’endroit rêvé pour une thérapie sentimentale》 selon 20 minutes online
《Un roman »doudou》 selon Les lectures de Mumu
《Une ode à la vie》 selon Aurélie Carnet de Lecture
《Une ode à l’espoir》selon Le cercle des lecteurs disparus

J’avais à cœur d’aborder ce thème, celui des femmes victimes de violence conjugale, tant le fléau sévit sur notre territoire. Et j’avais également à cœur de le faire en tournant l’histoire de façon positive, axè vers la reconstruction et la vie après. Parce que c’est possible.

Aujourd’hui, 25 novembre, Journée internationale contre les violences faites aux femmes, cette phrases d’Amy prend tout son sens :

« Je m’appelle Amy Larson, et j’ai vingt-six ans.Après avoir connu l’Enfer, j’ai découvert la vie.Une seule rencontre peut tout changer. Ne cessez jamais d’espérer.Parce qu’un jour ou l’autre, les miracles arrivent. Pas parce que c’est écrit, ou parce qu’on nous le raconte depuis toujours dans les contes de fées. Non. Mais simplement parce qu’un beau matin, alors que vous penserez toucher le fond, le destin vous sourira. Un étranger croisera votre route, avec la seule intention de vous aider, là où la majorité passera son chemin. Ne cessez jamais d’espérer. »

Espérons qu’un jour, il n’y est plus besoin de journée internationale pour cette violence. ♥.

Un voyage inspirant

Après 15 jours incroyables passés sur les terres des caribous, je refais enfin surface !

J’admets qu’il m’a fallu quelques jours pour réorganiser mon horloge internet, non seulement à cause du jetlag, mais aussi en raison de ce dépaysement total qui m’a fascinés autant qu’il m’a épuisée.

Mais loin de se contenter d’être une pause dans mon quotidien très rythmé, ce voyage a contribué à l’inspirer davantage. Il m’a également permis de progresser sur certains projets.

Enfin, bien évidemment, il fut l’occasion d’un retour aux sources nécessaire, un rappel des choses essentiel à mon équilibre : le cocon familial, la nature, la découverte, les vraies choses de la vie, loin de tout le reste.

C’est avec beaucoup de plaisir que je m’apprête à vous en dévoiler plus concernant mon périple au Canada !

De Québec à Saguenay, à Tadoussac, à Montreal puis Toronto… bienvenue dans le grand Nord !

Un retour aux sources

Sans nul doute, j’ai pleinement profité de ce voyage pour couper un peu avec le quotidien épuisant et les contraintes qu’il impose. En revanche, je me suis rapprocher de ce que j’aime le plus au monde : la nature. Le décor Canadien et ses contrastes somptueux m’ont permis d’en prendre plein les yeux, de découvrir le lien puissant qui lit les habitant de ce pays à leurs terres, et le respect qu’ils éprouvent pour la nature.

En fervente défenseuse des animaux, j’ai également pu vivre des expériences inoubliables, notamment au « zoo » de Falardeau, au Québec, qui n’a de « zoo » que l’appellation, puisqu’elle était nécessaire aux propriétaire pour avoir le droit d’accueillir toutes sortes d’espèces. C’est en fait un refuge, où les animaux sont recueillis, soignés, et lorsque c’est possible relâché. Des espèces du monde entiers y séjournent dans un cadre paisible. Un lion blessé sur son chemin pour un plateau de tournage, des « espèces nuisibles » apportées par des fermiers pour ne pas les tuer, ou encore, des animaux sauvés des parcs de chasse privés d’Afrique du Sud. Bref, on y croise de l’orignal local au tigre blanc, et tout du long, on apprend à leur contact.

Petit plus ? (Gros plus)
J’ai eu la chance d’approcher et caresser un lionceau, un bébé tigre et un bébé lémurien dans la nurserie du parc. Parce que leur réinsertion, dans leurs cas respectifs, ne sera pas possible, ils leur apprennent à voir du monde. Moment de tendresse marqué à vie dans ma petite tête…

Mais le Canada, c’est bien plus encore. Une faune incroyable, dans laquelle ont compte le plus grand mammifère au monde. La baleine.

Un rêve devenue réalité.

Pour une fois que l’un de mes voyages coïncide avec la période où les déesses des océans approche les côtes, je me suis jetée à l’eau (au sens figuré…vu la température.)

Je partage avec vous cet instant de magie pure.

Comment se remettre d’une telle rencontre, que j’espérais depuis des années ?

Le paysage apaise cet au revoir, Tadoussac, un lieu paradisiaque, coupé du monde, où je me verrai bien vivre. tout ici m’inspirais.

Nous n’avons pas vu les fameux Beluga lors de notre sortie en mer, mais le jour du départ, à peine avons nous quitter le ferry en voiture (il n’existe pas de pont) qu’un représentant de cette espèce nous narguait depuis le Fjord du Saguenay, en bord de route. À une prochaine, l’ami !

Une terre de magie

Le « vrai Nord » comme ils l’appellent, là-bas, ne se contente pas d’être un havre de paix aux milles couleurs. Non. « Too easy ».

Le territoire abrite une histoire culturelle riche et puissante, à commencer par celles des nombreuses tribus natives de ce pays.

J’ai eu la chance et l’honneur d’aller à la rencontre des indiens Wendat, surnommés les « hurons » par les navigateurs français les ayant découvert, à cause de leur crête. Et c’est à Wendake, au Québec que j’ai découvert leur histoire.

La guide n’était pas native de la tribu huron mais d’une autre tribu alliée, plus au Nord, et connaissais donc parfaitement les coutumes huron. Elle était d’une gentillesse infinie, et suffisait à réchauffer un peu l’air, face à la tempête de vent.

Fière de son peuple, de ses racines et de cette partie de l’histoire Canadienne, c’est avec passion qu’elle nous a « éduqué » à cette culture.

Engagée pour la cause des femmes et pour la cause des tribus indiennes, elle espère devenir chef de Wendake prochainement, et vise même un poste au gouvernement, après ses études. En bref : une rencontre inspirante !

À tel point qu’un nouveau spitch de roman est né ce jour-là, mettant en scène un indien huron wendat. J’espère pouvoir lui donner vie l’an prochain où l’année suivante, afin de transmettre un peu de cette magie à mon tour.



En mode détective

Enfin, ce voyage a été l’occasion pour moi d’apprendre de ce pays, de ses habitants, de leurs habitudes, de découvrir la réalité du terrain, par curiosité, évidement, mais aussi pour un projet en cours dont je vous ai déjà parlé.

LE projet à 4 mains que je commencerai à écrire au printemps 2020, mais que je prépare déjà en amont. Parce qu’une histoire se démarre bien avant son premier mot, dans l’imaginaire de son auteur. Celle-ci se déroulera au Canada. Elle mettra en scène un pompier de Toronto, en Ontario.

J’ai donc fouiné de font en comble cette ville, je l’ai traversée de quartiers en quartiers pour m’imprégner de l’atmosphère de chacun d’entre eux, à raison de’une dizaine de kilomètres chaque jour où j’y est logé.

Je l’ai aimé, adoré, j’ai vibré au rythme de son équipe championne de NBA, de son rythme de vie non-stop, de sa démesure aussi. En total contraste avec le bout du monde qu’était Tadoussac.

J’ai craqué devant des écureuils par centaines, j’ai foulé le Hall of fame de hockey, et j’ai pu admirer la grâce avec laquelle cette ville mélange le cachet des anciens quartiers avec les récents faits de buildings.

Je n’ai pas eu « la chance » de croiser des pompiers à Toronto, (zone anglophone) mais j’ai cependant dégainé l’appareil photo au Québec, chaque fois que j’en ai vu !

De quoi apporter un peu plus de réalisme encore à ce joli projet.
D’ici une dizaine de jours, je pourrais d’ailleurs vous en dire plus sur ma co-auteure, puisque nous vous l’annonceront en live Facebook depuis le salon de Mons !

Voilà, c’est fini…

À moins que ce ne soit que le début. Une partie de mon cœur est resté de l’autre côté de l’océan, avec ces grands espaces et cette nature enchanteresse.

Quelque part, tout au fond, je crois que je garde l’espoir d’y retourner un jour, avec une destination toute trouvée : il reste un ami à Tadoussac que j’aimerais rencontré. Et des demoiselles gigantesques à saluer de nouveau.

Sur ce, je vous quitte avec une note d’humour québecois !

Blandine

girlpower

#GirlPower dans les romans

? • • • ELLES • • • ?

« Parfois, c’est la princesse qui tue le dragon et qui sauve le prince. »
Samuel Lowe.

Parlons peu, parlons bien.
Je ne sais pas vous, mais pour ma part, j’aime les héroïnes qui relèvent la tête et sont capables de renvoyer les personnages masculins dans leurs 22 quand il le faut.
Quelle que soit ma lecture, mon écriture du moment, et quelle que soit la situation et l’état d’esprit du personnage féminin au départ, j’attends d’elle qu’elle évolue au fil des pages et qu’elle ose enfin prendre en main son destin sans attendre d’aide de la part d’un quelconque prince charmant.
Les temps ont changé, et désormais il est l’heure de ranger au placard les héroïnes qui acceptent jusqu’au bout de se laisser marcher dessus. * Mode badass * activé et assumé !
J’aime que chaque roman véhicule des valeurs auxquelles je crois, et pour mes écrits, je tiens à m’assurer qu’ils transmettent de véritables messages, notamment concernant les droits des femmes, sujet qui me semble essentiel au vue de la situation actuelle des choses dans le monde.
Qu’on le veuille ou non, en tant que romanciers, nous avons cette responsabilité, celle du choix des messages colportés par nos écrits.
Alors vive les personnages féminins forts et indépendants !

S’il y en a bien une qui montre la voie, c’est Charlie, cette tempête blonde et rebelle qui chamboule Casey dans Wild Son. L’avez-vous rencontrée ? Quelque chose me dit que si c’est le cas, vous vous en souviendrez

La preuve en extrait ! ?

❝ Un énième connard ivre mort avait décidé de me pourrir la soirée en tentant de me peloter durant mon round sur le comptoir. Fidèle à moi-même, je ne m’étais pas laissé faire et lui avait expliqué le Code de la route à ma façon. Casey avait débarqué là comme un prince charmant à l’ego surdimensionné.
Il avait omis un détail : dans le monde dans lequel je vivais, j’avais appris à me débrouiller seule, et non, il n’y avait aucune princesse en détresse à sauver. Il l’avait compris, je pense, en me voyant exploser la tête du grand gaillard qui avait posé la main sur moi.
Eh oui, le vieux schéma de la pauvre fille ayant besoin du mauvais garçon pour la tirer d’affaire, c’était dépassé. Bon, OK, sa présence sur le coup m’avait malgré tout confortée dans ma vendetta, mais avec ou sans lui, j’aurais agi ainsi. Je n’avais pas pour habitude de miser sur les gens et sur leur aide éventuelle. C’était comme ça qu’on parvenait à avancer, en ne comptant que sur soi. ❞

? Envie d’en découvrir plus ?
PAR ICI

traduction de romans

De nouvelles traduction attendues !

❝Et il n’est rien de plus beau que l’instant qui précède le voyage, l’instant où l’horizon de demain vient nous rendre visite et nous dire ses promesses.❞ Milan Kundera

La liste des traduction en cours ne cesse de grandir ! Mes personnages ont décidé de voir du pays ! Ou plutôt, des pays ! ✈

? Alors que le tome 1 des Wild Crows existe déjà en anglais, que le tome 2 est prévu pour cet été, c’est la version espagnole qui se met en place ! Le tome 1 vient d’être terminé est sera mis en route dans la semaine ! Et on prononce « Adiccion » s’il vous plaît ! ☺ (oui, avec le cheveux sur la langue !) Les bikers de Monty Valley deviennent internationaux !

? De son côté, « Happiness Palace » est également en cours de traduction en anglais. Amy et Zach vont apporter leur douceur « feel good » aux anglophones !

? Enfin, nouveauté depuis hier : « Quelque chose de bleu », ma comédie romantique, sera également traduite en anglais durant l’année à venir ! La musique des Dark Alchemy ne semble pas connaître de frontière !

Que de bonnes nouvelles pour mes personnages ! En tant que passionnée de voyage, routarde dans l’âme, j’accueille ces nouvelles avec une euphorie toute particulière ! ?

❓ Et vous, aimez-vous voyager ? Les livres sont un voyage également,, une jolie manière de s’évader. Un voyage de l’esprit !


casey

Interview de Casey

Audrey de la page Romance Sisters à choisi de se pencher sur le cas « Casey ».

?C’est le temps d’une interview sans tabous qu’elle nous permet de découvrir un peu mieux le Président actuel des Wild Crows !

?En piste !


•••


➥ Bonjour, Casey. Merci d’être avec nous pour cet interview.

? ➤ Bonjour, Audrey et merci de m’accueillir !


➥ Comment vas-tu ?

? ➤ Impec’, tout roule !


➥ Comment se passe la vie de Président ?

? ➤ Arf tu sais, c’est jamais sans vagues quand on dirige un établissement, alors tout un complexe, plus un club, ça m’occupe !Non, sans rire, les gars se comportent plutôt bien dernièrement, et puis, on a « rangé les armes », tu l’sais ? Du coup, on a beaucoup moins d’embrouilles, et on vit tous plus sereinement.Les gros poissons s’entretuent, sans qu’on soit au milieu. Nos familles respirent. La vie normale, quoi.


➥ Ça n’a pas été trop difficile de t’imposer face à des énergumènes plus vieux que toi ?

? ➤ Tu veux rire ? J’en ai bavé ! J’avais beau les connaître depuis toujours pour certains, se faire diriger et accepter les ordres d’un type de mon âge, ça a fait grincer des dents ! Mais ils ont voté pour, alors, c’est comme ça ! Ils ont eu leur mot à dire, le jour où mon père a voulu refiler le flambeau à un autre. Au fil des années, ça devient de plus en plus limpide. On s’fait à tout, je crois, question d’habitude. Les Wild Crows ont toujours su s’adapter. Notre passé mouvementé aura au moins eu le mérite de faire de nous des caméléons.


➥ Depuis 5 ans que tu tiens les rênes, as-tu déjà eu envie de rendre ton tablier ? Ou devrais-je dire ton blouson. ^^

? ➤ Pas vraiment. Y’a eu des hauts et des bas, c’est certain, mais je ne lâche pas l’affaire si facilement, et puis, il en va de la survie de notre club. Mon père a passé la sienne à le construire, le dorloter. Le club avant tout.


➥ Prendre les décisions, c’est quelque chose que tu as toujours désiré ?

? ➤ Pas vraiment. On m’aurait demandé six ou sept ans plus tôt si je me voyais devenir prez’ un jour, j’aurais rigolé ! Et pourtant, tu vois… la vie est faite de surprises ! Tout réside dans la manière de les gérer !


➥ Mais cette responsabilité ne te ronge-t-elle pas un peu parfois ?

? ➤ Qu’est-ce que tu veux me faire dire Audrey ?(petit clin d’œil en douce)Si tu comptes me voir me larmoyer sur mon sort dans ton sofa de psy, tu te goures. J’fais pas ce genre de trucs, moi.Et puis… si j’te dis que c’est difficile parfois, je gagne quoi ? Tu viendrais me réconforter ?(sourire malicieux).OK, OK, plus sérieusement, bien sûr que c’est parfois lourd, mais je pense que jamais je n’aurais un dixième des responsabilités que mon père a eu à porter avec ce blouson. Le club est entré dans une nouvelle ère. Il a survécu grâce au changement, et je m’en tire plutôt pas mal.


➥ Et la vie de solitaire que tu t’efforces de mener depuis cet accident tragique, comment la vis-tu ?

? ➤ (Il reprend son sérieux, mal à l’aise).T’es partie sur une bonne lancée de questions sordides… tu veux me faire passer pour un fou furieux ou quoi ?Je n’ai pas une vie de solitaire, au contraire, y’a toujours du monde chez moi, les gars du club et pas mal de filles aussi… beaucoup, même.


➥Tu n’aimerais pas te poser un peu ? Trouver une first lady aussi « efficace » que ta mère ?

? ➤ J’en sais rien, disons que je n’ai pas encore trouvé la perle rare. Je ne tire pas de plans sur la comète. Si je ‘la croise, tant mieux, sinon, je continue de rouler ma bosse à ma manière et à profiter des plaisirs de la vie. Y’a pire que ma situation, tu sais…


➥ En parlant de ta mère, a-t-elle facilement accepté ta nomination au pouvoir ?

? ➤ Ma mère a d’abord paniqué… elle ne s’y attendait pas plus que moi. Et elle connaissait ce en quoi on s’engageait quand on devenait président, pour avoir vécu aux côtés de mon père dans les meilleurs moments comme dans les pires. Mais d’une certaine manière, j’ai vu une fierté nouvelle briller dans son regarde de mère poule. (Il sourit).Et puis, comme je l’ai dit, les choses ont changé pour le club, alors elle souffle un peu, elle aussi, depuis. Elle dort mieux la nuit !


➥ Et ton père, ce n’est pas difficile qu’il soit également l’ex-président ?

? ➤ C’est difficile pour moi ! Il ne me lâche jamais bien longtemps. Pas de vraie retraite pour Jerry Welsh, non ! Il est trop fier pour ça et puis, le club, c’est toute sa vie ! Donc il veille au grain ! De mon côté, je fais de mon mieux pour ne pas être que son ombre, mais il m’a fallu cravacher pour commencer à y arriver !


➥ Depuis 5 ans, tu as mûri. Quelle est ta vision de la vie maintenant ?

? ➤ J’envisage la vie plus sereinement. Je ne suis pas du genre à prévoir des plans d’avenirs, mais les choses se passent bien, tant pour les affaires qu’entre nous tous. J’suis le tonton gâteau de deux petites terreurs que j’aime comme un fou, donc ça roule !


➥ Quel avenir vois-tu pour le club ?

? ➤ Pas de plans, je te l’ai dit ! Advienne que pourra, mais j’ose imaginer qu’il ne mourra jamais, et que la relève arrivera un jour.


➥ Comment se passe ta relation avec Joe ta demi-sœur ?

? ➤ Joe et moi, ça a toujours été limpide, depuis le premier jour. J’ai eu la chance de me découvrir une sœur, alors que je pensais être fils unique. Je lui ai fait une place dans ma vie, on l’a tous fait, d’ailleurs. On a les mêmes délires, et la même vision du monde, donc on est toujours raccords. Forcément, devenir mère lui a imposé de calmer le jeu côté déconne et soirée. J’l’adore, ma sœur, putain… ça oui ! Va savoir, si on s’était connus depuis la naissance, peut-être qu’on n’aurait jamais été si proches. Le destin fait parfois bien les choses après tout.


➥ Crois-tu que si elle n’avait pas pointé son bout de nez, le club en serait où il est maintenant ?

? ➤ J’en sais rien… elles sont vraiment bizarres tes questions, Audrey. T’es sûre que ce n’est pas ces crétins de fédéraux qui t’envoient ? Je n’ai pas de boule de cristal, mais tout ce que je sais, c’est qu’elle a amené un peu de douceur dans nos vies bien rudes, et que c’est en partie grâce à elle, si le club a changé de voie.


➥ À part la moto, as-tu d’autres passions dans la vie ?

? ➤ La mécanique, ça compte ? J’aime jouer de la gratte, aussi, la guitare a toujours fait partie de ma vie, pour ce que je m’en souviens : ça m’détend.


➥ Si tu devais te décrire en 3 mots ?

? ➤ Club, Moto, Liberté


➥ Tes défauts ?

? ➤ Têtu, fougueux, parfois immature ?


➥ Tes qualités ?

? ➤ Loyal, authentique, stratège

➥ Le mot de la fin ?

? ➤ Si vous n’avez pas peur des émotions fortes, venez découvrir mes aventures ! Accrochez-vous bien, je n’roule jamais au pas…


➥ Merci, Casey d’avoir pris le temps de répondre à ces quelques questions. On se retrouva sur les routes de Monty Valley ou au Devil’s.

? ➤ Yes, mais cette fois-ci, sans questions, sans interrogatoire, sans sofa… enfin, pour le sofa, va falloir y songer…Allez à un d’ces quatre et merci Audrey !


•••

Photo : Stephen James

interview joe

Interview de Joe – Les Magicienne des mots

Regardez par ici ce que Gaëlle nous a concocté ? ☺
Pour son blog, Les magiciennes des mots, elle a décidé d’interviewer Joe (des Wild Crows) au sujet de son petit frère, Casey. (héro du spin-off indépendant Wild Son qui sortira le 15 mai)
Immersion dans la fratrie Blake-Welsh !

???

 » Vous me connaissez bien, vous m’avez vue débarquer à Monty Valley où ma vie à pris une autre direction ! Je suis venue pour retrouver mon père, j’y ai trouvé une famille entière. Moi, Joe, fille unique j’avais un frère pour de vrai. Laissez-moi vous présenter un peu Casey, mon petit frère adoré !

Sa plus grande qualité : son altruisme

Son plus grand défaut : sa fougue

Le surnom qu’il déteste : gamin

Ce que je préfère chez lui : son rire

Ce qui m’exaspère le plus : son côté parfois « je m’en foutiste », un peu laxiste

De quel membre des Wild Crows il est le plus proche : Ash. En dépit de leur différence d’âge il lui fait une totale confiance. ils se chamaillent tout le temps, mais au final, il sait qu’il peut compter sur son bras droit, puisqu’il était aussi le bras droit de notre père, et qu’il est désormais mon mari.

?



À très vite pour découvrir un peu mieux Casey ! ♥
enfants

Quand les enfants s’en mêlent – Interview par Lire c’est vivre plusieurs Vies

Et si on donnait la parole aux enfants ? ?

C’est précisément ce qu’a choisi de faire Ophélie du blog Lire c’est vivre Plusieurs Vies en interviewant Aidan et Grace que certains ont déjà découvert dans la saga Wild Crows et que d’autres rencontreront dans Wild Son dès le 15 mai.

Alors, prêts à craquer devant ces deux petits démons au cœur tendre ?

? C’est ici que cela se passe ◄

Charlie en 10 secrets

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Vous la découvrirez dans 12 petits jours, et déjà, ce midi, dans le dernier extrait dévoilé sur les réseaux, ainsi que dans le 1er chapitre posté ici même, vous avez pu jauger son caractère hautement explosif.

Et si je vous dévoilais quelques secrets concernant Charlie, ce personnage féminin que vous rencontrerez dans Wild Son ?

Attention, révélations…

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• • •

❶ Charlie possède une moto Indian, un héritage qu’elle tient de sa mère. Celle-ci est décédée en couche lors de sa naissance, un traumatisme gravé à jamais dans l’esprit de la jolie blonde.

❷ Cette tornade de 26 ans est une grande amatrice de téquila et de chocolat. 😛

❸ Elle a grandie entourée d’hommes : son frère, son père, son oncle.

❹ Parmi ses tatouages figure un « Carepe diem » orné de roses sur son flanc.

❺ Élevée dans un univers dur, Charlie a appris très tôt à ne compter que sur elle même et à manipuler les gens qui l’entourent.

❻ Sa plus grande phobie ? Les autres

❼ Femme forte en extérieur, le vertige la tétanise.

❽ Loin des clichés et jamais là où on l’attend, cette jeune femme se passionne pour la mécanique.

❾ L’âme d’une vagabonde l’habite, elle voyage tout le temps, préférant goûter au monde entier que de ne rester toute sa vie au même endroit.

❿ Charlie déteste le froid et la neige. Elle en trouve pas ça romantique, ni magique, mais bel et bien effrayant ! Quoi de plus logique, elle a grandi au soleil…

Voilà pour abreuver votre curiosité ! Alors, vous avez hâte de la découvrir ?

Parce que je peux vous assurer qu’en coulisses, elle à le trac ! ?

À très vite et bon week-end ! ?

Blandine