#GirlPower dans les romans

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« Parfois, c’est la princesse qui tue le dragon et qui sauve le prince. »
Samuel Lowe.

Parlons peu, parlons bien.
Je ne sais pas vous, mais pour ma part, j’aime les héroïnes qui relèvent la tête et sont capables de renvoyer les personnages masculins dans leurs 22 quand il le faut.
Quelle que soit ma lecture, mon écriture du moment, et quelle que soit la situation et l’état d’esprit du personnage féminin au départ, j’attends d’elle qu’elle évolue au fil des pages et qu’elle ose enfin prendre en main son destin sans attendre d’aide de la part d’un quelconque prince charmant.
Les temps ont changé, et désormais il est l’heure de ranger au placard les héroïnes qui acceptent jusqu’au bout de se laisser marcher dessus. * Mode badass * activé et assumé !
J’aime que chaque roman véhicule des valeurs auxquelles je crois, et pour mes écrits, je tiens à m’assurer qu’ils transmettent de véritables messages, notamment concernant les droits des femmes, sujet qui me semble essentiel au vue de la situation actuelle des choses dans le monde.
Qu’on le veuille ou non, en tant que romanciers, nous avons cette responsabilité, celle du choix des messages colportés par nos écrits.
Alors vive les personnages féminins forts et indépendants !

S’il y en a bien une qui montre la voie, c’est Charlie, cette tempête blonde et rebelle qui chamboule Casey dans Wild Son. L’avez-vous rencontrée ? Quelque chose me dit que si c’est le cas, vous vous en souviendrez

La preuve en extrait ! ?

❝ Un énième connard ivre mort avait décidé de me pourrir la soirée en tentant de me peloter durant mon round sur le comptoir. Fidèle à moi-même, je ne m’étais pas laissé faire et lui avait expliqué le Code de la route à ma façon. Casey avait débarqué là comme un prince charmant à l’ego surdimensionné.
Il avait omis un détail : dans le monde dans lequel je vivais, j’avais appris à me débrouiller seule, et non, il n’y avait aucune princesse en détresse à sauver. Il l’avait compris, je pense, en me voyant exploser la tête du grand gaillard qui avait posé la main sur moi.
Eh oui, le vieux schéma de la pauvre fille ayant besoin du mauvais garçon pour la tirer d’affaire, c’était dépassé. Bon, OK, sa présence sur le coup m’avait malgré tout confortée dans ma vendetta, mais avec ou sans lui, j’aurais agi ainsi. Je n’avais pas pour habitude de miser sur les gens et sur leur aide éventuelle. C’était comme ça qu’on parvenait à avancer, en ne comptant que sur soi. ❞

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