Journée internationale contre les violences faites aux femmes

Journée internationale contre les violences faites aux femmes

? « Je suis en train de lire votre œuvre « Hapiness Palace » et comment dire… j’aurais pu écrire cette histoire, car ceci est mon histoire . Merci énormément pour ces mots que vous avez su poser sur la violence conjugale, ce traumatisme qui nous suivra toute notre vie… Vous avez su répondre à merveille a cette question dont je n’avais pas les mots « pourquoi être restée avec ? ». Je ne vous remercierai jamais assez d’avoir écrit ces mots que toutes femmes battues ne trouvent pas . MERCI ! » ?

Parce que le droit des femmes est une valeur que j’ai toujours eu à cœur de défendre, dans la vie, comme dans mes romans, ce témoignage d’une lectrice fut un véritable déclencheur pour moi.

Happiness Palace, où ce jour au cours duquel j’ai décidé d’écrire un roman feel good, mettant en scène une jeune femme qui tente de reprendre le cours de sa vie après avoir connu le pire.

Ce témoignage m’a bouleversée, en tant qu’auteur. Parce que mes mots avaient eu un impact pour quelqu’un. Parce que j’étais parvenue à aider une lectrice, d’une manière ou d’une autre. Parce qu’il ne s’agissait plus seulement d’une fiction, mais d’un soupçon d’espoir, de foi en l’avenir, et que ça touchait le cœur d’une jeune femme qui avait, comme mon personnage Amy, vécue sous le joug de la violence conjugale.

Si déjà, j’aimais défendre les causes qui me sont chères au fil de mes romans, ce jour là, j’ai compris à quel point un livre pouvait avoir des vertus encourageantes, réconfortantes, bienveillantes.

Traiter d’un sujet si lourd, dans un roman feel good… dans le genre complexe, on ne fait pas mieux, et pourtant… l’idée, était de se focaliser sur la reconstruction, la résilience, et sur ce refuge chargé d’amour qu’est le Happiness Palace, afin de montrer qu’il existe un « après » possible. Un « après » fait rêves, de sourires et des jolies choses de la vie.

《 Happiness Palace, l’endroit rêvé pour une thérapie sentimentale》 selon 20 minutes online
《Un roman »doudou》 selon Les lectures de Mumu
《Une ode à la vie》 selon Aurélie Carnet de Lecture
《Une ode à l’espoir》selon Le cercle des lecteurs disparus

J’avais à cœur d’aborder ce thème, celui des femmes victimes de violence conjugale, tant le fléau sévit sur notre territoire. Et j’avais également à cœur de le faire en tournant l’histoire de façon positive, axè vers la reconstruction et la vie après. Parce que c’est possible.

Aujourd’hui, 25 novembre, Journée internationale contre les violences faites aux femmes, cette phrases d’Amy prend tout son sens :

« Je m’appelle Amy Larson, et j’ai vingt-six ans.Après avoir connu l’Enfer, j’ai découvert la vie.Une seule rencontre peut tout changer. Ne cessez jamais d’espérer.Parce qu’un jour ou l’autre, les miracles arrivent. Pas parce que c’est écrit, ou parce qu’on nous le raconte depuis toujours dans les contes de fées. Non. Mais simplement parce qu’un beau matin, alors que vous penserez toucher le fond, le destin vous sourira. Un étranger croisera votre route, avec la seule intention de vous aider, là où la majorité passera son chemin. Ne cessez jamais d’espérer. »

Espérons qu’un jour, il n’y est plus besoin de journée internationale pour cette violence. ♥.

Un voyage inspirant

Après 15 jours incroyables passés sur les terres des caribous, je refais enfin surface !

J’admets qu’il m’a fallu quelques jours pour réorganiser mon horloge internet, non seulement à cause du jetlag, mais aussi en raison de ce dépaysement total qui m’a fascinés autant qu’il m’a épuisée.

Mais loin de se contenter d’être une pause dans mon quotidien très rythmé, ce voyage a contribué à l’inspirer davantage. Il m’a également permis de progresser sur certains projets.

Enfin, bien évidemment, il fut l’occasion d’un retour aux sources nécessaire, un rappel des choses essentiel à mon équilibre : le cocon familial, la nature, la découverte, les vraies choses de la vie, loin de tout le reste.

C’est avec beaucoup de plaisir que je m’apprête à vous en dévoiler plus concernant mon périple au Canada !

De Québec à Saguenay, à Tadoussac, à Montreal puis Toronto… bienvenue dans le grand Nord !

Un retour aux sources

Sans nul doute, j’ai pleinement profité de ce voyage pour couper un peu avec le quotidien épuisant et les contraintes qu’il impose. En revanche, je me suis rapprocher de ce que j’aime le plus au monde : la nature. Le décor Canadien et ses contrastes somptueux m’ont permis d’en prendre plein les yeux, de découvrir le lien puissant qui lit les habitant de ce pays à leurs terres, et le respect qu’ils éprouvent pour la nature.

En fervente défenseuse des animaux, j’ai également pu vivre des expériences inoubliables, notamment au « zoo » de Falardeau, au Québec, qui n’a de « zoo » que l’appellation, puisqu’elle était nécessaire aux propriétaire pour avoir le droit d’accueillir toutes sortes d’espèces. C’est en fait un refuge, où les animaux sont recueillis, soignés, et lorsque c’est possible relâché. Des espèces du monde entiers y séjournent dans un cadre paisible. Un lion blessé sur son chemin pour un plateau de tournage, des « espèces nuisibles » apportées par des fermiers pour ne pas les tuer, ou encore, des animaux sauvés des parcs de chasse privés d’Afrique du Sud. Bref, on y croise de l’orignal local au tigre blanc, et tout du long, on apprend à leur contact.

Petit plus ? (Gros plus)
J’ai eu la chance d’approcher et caresser un lionceau, un bébé tigre et un bébé lémurien dans la nurserie du parc. Parce que leur réinsertion, dans leurs cas respectifs, ne sera pas possible, ils leur apprennent à voir du monde. Moment de tendresse marqué à vie dans ma petite tête…

Mais le Canada, c’est bien plus encore. Une faune incroyable, dans laquelle ont compte le plus grand mammifère au monde. La baleine.

Un rêve devenue réalité.

Pour une fois que l’un de mes voyages coïncide avec la période où les déesses des océans approche les côtes, je me suis jetée à l’eau (au sens figuré…vu la température.)

Je partage avec vous cet instant de magie pure.

Comment se remettre d’une telle rencontre, que j’espérais depuis des années ?

Le paysage apaise cet au revoir, Tadoussac, un lieu paradisiaque, coupé du monde, où je me verrai bien vivre. tout ici m’inspirais.

Nous n’avons pas vu les fameux Beluga lors de notre sortie en mer, mais le jour du départ, à peine avons nous quitter le ferry en voiture (il n’existe pas de pont) qu’un représentant de cette espèce nous narguait depuis le Fjord du Saguenay, en bord de route. À une prochaine, l’ami !

Une terre de magie

Le « vrai Nord » comme ils l’appellent, là-bas, ne se contente pas d’être un havre de paix aux milles couleurs. Non. « Too easy ».

Le territoire abrite une histoire culturelle riche et puissante, à commencer par celles des nombreuses tribus natives de ce pays.

J’ai eu la chance et l’honneur d’aller à la rencontre des indiens Wendat, surnommés les « hurons » par les navigateurs français les ayant découvert, à cause de leur crête. Et c’est à Wendake, au Québec que j’ai découvert leur histoire.

La guide n’était pas native de la tribu huron mais d’une autre tribu alliée, plus au Nord, et connaissais donc parfaitement les coutumes huron. Elle était d’une gentillesse infinie, et suffisait à réchauffer un peu l’air, face à la tempête de vent.

Fière de son peuple, de ses racines et de cette partie de l’histoire Canadienne, c’est avec passion qu’elle nous a « éduqué » à cette culture.

Engagée pour la cause des femmes et pour la cause des tribus indiennes, elle espère devenir chef de Wendake prochainement, et vise même un poste au gouvernement, après ses études. En bref : une rencontre inspirante !

À tel point qu’un nouveau spitch de roman est né ce jour-là, mettant en scène un indien huron wendat. J’espère pouvoir lui donner vie l’an prochain où l’année suivante, afin de transmettre un peu de cette magie à mon tour.



En mode détective

Enfin, ce voyage a été l’occasion pour moi d’apprendre de ce pays, de ses habitants, de leurs habitudes, de découvrir la réalité du terrain, par curiosité, évidement, mais aussi pour un projet en cours dont je vous ai déjà parlé.

LE projet à 4 mains que je commencerai à écrire au printemps 2020, mais que je prépare déjà en amont. Parce qu’une histoire se démarre bien avant son premier mot, dans l’imaginaire de son auteur. Celle-ci se déroulera au Canada. Elle mettra en scène un pompier de Toronto, en Ontario.

J’ai donc fouiné de font en comble cette ville, je l’ai traversée de quartiers en quartiers pour m’imprégner de l’atmosphère de chacun d’entre eux, à raison de’une dizaine de kilomètres chaque jour où j’y est logé.

Je l’ai aimé, adoré, j’ai vibré au rythme de son équipe championne de NBA, de son rythme de vie non-stop, de sa démesure aussi. En total contraste avec le bout du monde qu’était Tadoussac.

J’ai craqué devant des écureuils par centaines, j’ai foulé le Hall of fame de hockey, et j’ai pu admirer la grâce avec laquelle cette ville mélange le cachet des anciens quartiers avec les récents faits de buildings.

Je n’ai pas eu « la chance » de croiser des pompiers à Toronto, (zone anglophone) mais j’ai cependant dégainé l’appareil photo au Québec, chaque fois que j’en ai vu !

De quoi apporter un peu plus de réalisme encore à ce joli projet.
D’ici une dizaine de jours, je pourrais d’ailleurs vous en dire plus sur ma co-auteure, puisque nous vous l’annonceront en live Facebook depuis le salon de Mons !

Voilà, c’est fini…

À moins que ce ne soit que le début. Une partie de mon cœur est resté de l’autre côté de l’océan, avec ces grands espaces et cette nature enchanteresse.

Quelque part, tout au fond, je crois que je garde l’espoir d’y retourner un jour, avec une destination toute trouvée : il reste un ami à Tadoussac que j’aimerais rencontré. Et des demoiselles gigantesques à saluer de nouveau.

Sur ce, je vous quitte avec une note d’humour québecois !

Blandine

roman feel good

Le roman feel good, cet ami qui te veut du bien

Parce que notre quotidien n’est pas toujours rose, et que la lecture reste un moyen idéal pour s’en évader et pour rêver, on doit pouvoir compter sur les romans, de temps en temps pour nous offrir des voyages émotionnels inoubliables.

Se déconnecter, c’est vital.

Dans ton emploi du temps surchargé, tu dois trouver quelque minutes par jour pour souffler, ne plus penser à rien, basta les contraintes, et tant pis pour le reste, ça attendra. Parce qu’on a tous besoin de se ressourcer de temps en temps et que la lecture le permet.

Elle peut devenir un moyen de voyager sans même bouger de ton canapé, sans te ruiner et surtout, où et quand tu le souhaites. Royal, non ? Une agence de voyage sur mesure, rien que pour toi.

Alors concentre-toi sur ce qui te fait vibrer dans les histoires que tu aimes lire.

L’amour.

Les sentiments.

Les émotions fortes.

En tant que lectrice, j’en ai besoin pour me sentir aspirée par l’intrigue d’un roman, pour m’évader du quotidien, pour vivre une autre vie, où tout devient possible.

Pas toi ?

En tant qu’auteur, c’est un peu la même histoire, il me faut passer par des montagnes russes émotionnelles lors de l’écriture d’un roman, sinon, ça voudrait dire que de l’autre côté, le lecteur n’éprouvera rien non plus. Il faut mettre un peu de soi, beaucoup même, pour vivre pleinement chaque mot.

Il existe un genre qui colle à merveille avec ce besoin qu’on à toutes, de recevoir une bonne dose de positif et de sentiments tendres quand la vie ne nous fait pas de cadeaux, ou bien que l’on veut simplement « couper » avec le train-train quotidien et la réalité.

LE FEEL GOOD.

Qu’il est bon de se laisser emporter par les bons sentiments d’une histoire d’amour pure et d’une intrigue visant à nous ramener aux choses simples !

Ça tombe bien, parce que c’est justement l’objectif des lectures dites « feel good », regroupant aussi bien des romans généraux que des romances.

Le leitmotiv ? L’espoir, l’évolution vers du positif, le dépassement de soir, la possibilité de se relever des plus gros échecs, de retrouver l’amour, ou l’envie d’être heureux.

Ces romans sont de véritables douceurs, ils nous couvrent de bienveillance et apaise nos tensions intérieures. Ils nous réconcilient avec tout le reste, même le voisin qu’on déteste pourra nous sembler plus sympa après un bon feel good !

Dernièrement, j’ai pu découvrir un superbe roman feel-good, et je vais t’en parler parce qu’il a réellement trouvé une résonance en moi.

Il s’agit du roman « Plus jamais sans toi » de mon amie, la talentueuse romancière, Laetitia Constant.

On rencontre Charlotte, jeune femme dans le doute quant à son avenir tout tracé, qui part au chevet de sa grand-mère pour prendre du recul.

Mais revenir sur les traces de son passé lui permettra aussi de croiser à nouveau le chemin de ses fantômes, notamment celui de celui qu’elle avait éperdument aimé… Ben.

Un roman qui sonne juste, une plume addictive, riche et envoûtante… bref, une pépite que je te conseille si, comme moi, tu aimes découvrir des histoires qui donnent du baume au cœur.

Pour en savoir plus sur celui-ci, c’est ici !

J’ai aussi dévoré l’un des derniers romans de Sophie Jomain (dont je conseils TOUS les livres sans exception), qui s’intitule, « Et tu entendras le bruit de l’eau ». Une superbe histoire dont on revient grandi et apaisé.

Une journaliste People éprouve le besoin urgent de tout plaquer pour aller se mettre au vert, et c’est dans la Baie de Somme qu’elle choisi de poser ses bagages. Changement de décor, remise en question de tout ce qui fait son quotidien, Marion ira me^me jusqu’à laisser sa vie personnelle reprendre un peu de place dans le décor pailleté de sa vie professionnelle.

Un véritable voyage, un destin de femme captivant et comme toujours avec Sophie Jomain, une plume riche, des émotions à fleur de page.

Pour en savoir plus, c’est par ici !

Autre coup de cœur dans le registre feel good, il s’agit de « Mais sinon, tout va bien » de Max Deloy (Alias Maxime Gillio)

On y rencontre George, trentenaire qui n’aime ni son nom, ni la tournure que prend sa carrière de professeur de théâtre. Il tente tant bien que mal de joindre les deux bouts pour offrir à son fils une éducation à la hauteur de son potentiel.

Le parcours d’un père célibataire touchant, très drôle aussi, une aventure riche de personnages attachants et originaux, bref, un petit bon bon à déguster !

Pour plus d’infos, c’est par ici !

Les concepts du feel good

En réalité, on dit d’un roman qu’il est feel good lorsqu’une fois la dernière page tournée, on se sent bien. Le « feel good » n’a rien d’un genre reconnu par les organisme littéraire, c’est une appellation populaire qui croît doucement, et qui caractérise ces romans qui nous font grandir, réfléchir, évoluer, pour qu’à la fin de notre lecture, un sentiment de bonheur, d’apaisement ou d’espoir remette en cause notre vision des choses.

En décortiquant tout cela, il y a trois principes que le feel good nous apprend.

1. Tu n’as pas à être parfait

Alléluia ! Nous avons tous nos forces, nos faiblesse et bla-bla-bla, on le sait. Mais ce qu’on oublie souvent, c’est qu’il faut relativiser et cesser de s’épuiser à la tâche sans même savoir profiter des petites victoires accomplies ! Parce que oui, je suis certaine que même si tu ne les vois pas tellement tu as le nez dans le guidon, tu as de jolies victoires à ton actif !

Tu as peut-être réussi à sourire à quelqu’un que tu détestes (entre nous, c’est la manière a plus jouissive de faire taire un idiot), ou tu as simplement redonné le sourire à ton bout de chou avant l’école ? On gagne tous des mini combats quotidiens, mais encore faut-il relever les yeux du compteur pour s’en apercevoir. Profite de chaque soupçon de positif distillé sur ton chemin aujourd’hui !

Les héros et héroïnes de romans feel good sont des gens comme toi et moi, ceux que l’on croise tous les jours, et pourtant, leurs petits combats gagnés nous passionnent avec une force inouïe lorsqu’on lit leur histoire. Pourquoi n’en ferais-tu pas de même ? Un pas après l’autre, évolue vers du positif, comme les personnages de ces romans doudous.

2. Si quelque chose dans ta vie te freine, te bloque, t’empêche d’être toi-même, de t’épanouir ou de réaliser tes rêves, débarrasse-toi en !

C’est aussi simple que ça. Se décharger du négatif et se concentrer sur ce qui nous apporte du bonheur.  Dans les faits, cela se résume par la capacité à faire des choix pour sa vie. On en a qu’une, je ne t’apprends rien, alors aujourd’hui est une journée idéale pour précisément ce que tu attends de la tienne ! Et si tu commençais maintenant ?

Ainsi, je ne supportais pas mon travail, je ne me voyais pas poursuivre ainsi, je tournai en cage comme un lion triste… alors j’ai redoublé d’efforts pendant plusieurs années pour parvenir à concrétiser mon rêve. Devenir romancière. Et j’ai continué la route, travaillant d’arrache-pied pour rendre possible ce que beaucoup jugeaient improbable : vivre de ma passion, pouvoir écrire tous les jours. Si je l’ai fait, pourquoi pas toi ?

Je t’assure que je ne suis pas une Wonderwoman, juste une rêveuse un peu fêlée qui a décidé de transformer sa vie en quelque chose de passionnant. On a tous un talent, une passion dévorante pour quelque chose, un projet un peu fou dans un coin de la tête… Il faut simplement trouver ce que c’est et s’y donner corps et âme.  Les rêves ne sont pas réservés aux autres.

3. Sois toi-même et cesse de vouloir à tout prix plaire aux autres !

Cette troisième notion clé, c’est Lena, l’héroïne de ma comédie romantique Quelque chose de bleu qui te la souffle. (D’ailleurs, elle aurait pu me doubler pour te glisser les deux autres à l’oreille, pour les avoir elle-même mis en pratique !)Sois toi-même et cesse de plaire aux autres !

La seule véritable façon d’aborder la vie autrement et de déguster la saveur douce et sucrée du Bonheur (remarque la majuscule au « B » 🙂 ) c’est d’enfin laisser tomber le voile et d’être telle que tu es au fond. On enlève le masque, fini. Au moins aujourd’hui, essaie pour voir. Tu te sentiras libre, et le poids sur tes épaules fondra comme une glace oubliée sur la table au soleil !  Je t’en fais la promesse !

Ouais, elle est comme ça Lena, enfin, depuis peu… avant de se sentir aussi vivante, elle avait accepté une vie qui ne lui correspondait pas. Et puis… avec l’aide de certaines personnes, elle a pris de conscience de ce temps qu’elle gâchait à être une autre qu’elle même. Des talents qu’elle enfouissait pour rester celle qu’on attendait d’elle qu’elle soit.

Alors elle a tout envoyé bouler.

Et je peux vous garantir qu’elle ne le regrette pas. Son histoire à elle, Quelque chose de bleu, c’est comme une comédie romantique venue tout droit d’Hollywood, sauf que… elle est Basque !

Voilà, il fallait que je te le dise.

Il est vrai que lorsqu’il est question du bonheur, des rêves, de l’espoir, je m’emballe, mes personnages aussi, parce que dans le fond, c’est ce qui nous anime.

Et toi, as-tu trouvé ce qu’il te fallait pour être heureux(se) ?

Lis tu des romans feel good ?

Si oui, lesquels ont marqué ton esprit ?


Si l’histoire de Lena t’intrigue, tu peux en découvrir plus à son sujet en cliquant ici.

les femmes dans els romans

La place des femmes dans les romans

Patrick Juvet avait beau nous irriter les oreilles avec sa voix nasillarde, et pourtant, tel un preux chevalier au look extraterrestre, il débarquait dans les enceintes des radios en couinant un refrain avant-gardiste en son genre, soulevant THE question que je me pose aujourd’hui :

dans le contexte des romans, et plus particulièrement de la romance : où sont les vraies femmes ? 

Celles qui assument leur personnalité, sont fière de qui elles sont devenues, de leurs origines, de leurs objectifs, celles qui se battent pour défendre leurs valeurs et qui n’hésite pas à remettre en place quiconque oserait les rabaisser ?

Ce sont de ces femmes-là que je tiens à parler aujourd’hui.

Comme toi, comme moi, aucune d’entre elles n’est parfaite, mais c’est justement ce qui fait son charme : le personnage devient réaliste et nous pouvons comprendre ses ressentis, évoluer au même rythme qu’elle page après page, aimer, souffrir, grandir avec elle. C’est ce qui fait qu’un roman reste juste une lecture ou devient une expérience !

Plus, un message !

Mister Grey a beau avoir convaincu beaucoup d’entre nous de replonger le nez dans un bouquin, le souci, c’est que combiné avec les effets de mode made in le web et l’évolution de la société, on a comme l’impression que bien trop souvent, les personnages féminins étouffent ! Ils se soumettent, ne vivent que pour le bonheur de ces messieurs et s’oublient en route.

Parce que l’égalité des sexes est une valeur que j’ai toujours eu à cœur de défendre, j’aime mettre celle-ci en avant dans mes histoires.

Celle qui m’a le plus touchée, durant la phase d’écriture, c’est Amy, de Happiness Palace. (dont tu peux lire en ligne les premiers chapitres ici.

J’avais à coeur d’aborder ce thème, celui des femmes victimes de violence conjugale, tant le fléau sévit sur notre territoire. Et j’avais également à cœur de le faire en tournant l’histoire de façon positive, axè vers la reconstruction et la vie après. Parce que c’est possible.

Il y a quelques semaines, j’ai reçu un témoignage qui m’a bouleversé, celui d’une femme ayant connu cette situation.

« Je suis en train de lire votre œuvre « Hapiness Palace » et comment dire … j aurai pu écrire cette histoire, car ceci est mon histoire . Merci énormément pour ces mots que vous avez su poser sur la violence conjugale , ce traumatisme qui nous suivra toute notre vie… Vous avez su répondre a merveille a cette question dont je n’avais pas les mots « pourquoi être rester avec ? ». Je ne vous remercierai jamais assez d’avoir écrit ces mots que toutes femmes battues ne trouvent pas . MERCI ! »

Après avoir échangé avec cette personne, j’ai réellement pris conscience de l’importance des mots choisis et des valeurs défendues au travers d’un roman.

C’est pour cela que j’aime varier les profils de mes personnages, afin de raconter l’histoire de chaque femme, de chaque destin. ET surtout, d’y apporter de l’espoir.

Au fil de mes 17 romans, j’ai eu à cœur de présenter des femmes de tous types : certaines confiantes, battantes, parfois badass, quand d’autres cherchaient encore leur voie, un rocher auquel se raccrocher, un soupçon d’espoir.

Que l’on soit timide, en quête de nous-mêmes, grande gueule ou effacée, cela n’enlève en rien la force intérieure, cette chose qui nous rend uniques et qui nous permet d’avancer en toutes circonstances.

Je suis sûre que dans chacun de ces personnages, tu trouves un peu de toi.

J’y trouve un peu de moi aussi.

Alors, juste aujourd’hui, et pour bien démarrer la semaine, si on faisait une Ola à tous ces personnages féminins qui prônent l’égalité homme-femme ?

Ils sont assez rares pour être soulignés !

Oh, et un petite pensée pour Patrick Juvet, qui depuis ce matin, devient à mes yeux, un petit peu plus agréable à entendre !

(Bon, on se contentera peut-être de ces mots, c’est bien aussi sans le son !  Ahah !  😉 )

« Elles portent un blouson noir
Elles fument le cigare
Font parfois un enfant
Par hasard
Et dès que vient le soir
Elles courent dans le néant
Vers des plaisirs provisoires »

♥ ♥ ♥

Maintenant, je suis curieuse : quels personnages féminins ont marqués ton cœur de lectrice ou de lecteur ?

À très vite !

Romancément,

Blandine


PS : tu veux en savoir plus sur Happiness Palace, ce roman feel good qu’on lit comme on enroule un plaid tout doux autour de nos épaules ? Je te dévoile les premiers chapitres ici. Toutes les infos le concernant sont ici.

top10 vampires

Top 10 Vampires

Mythe ou légende, le vampire a le mérite d’animer les imaginaires les plus fous depuis des siècles ! Il fascine autant qu’il effraie, combo magique pour nous permettre des voyages passionnants !

De Dracula à Lestat, en passant par Angel ou Spike, tous ont marqué nos mémoires par leurs personnalités complexes et leur charisme indéniable.

Seulement voilà. Harper Jones a pour objectif de nous débarrasser de ces « monstres » ô combien séduisants, bien que dangereux.

J’ai donc jugé bon de créer ici un récapitulatifs des chouchous des lecteurs et des spectateurs avant qu’ils ne viennent à disparaître…

Prêts pour un tour d’horizon des canines pointues ?
Livres, séries TV, films, tout y est !

Voici mon top 10 très personnel et sans ordre de préférence, tant il regroupe des incomparables. Let’s go !

1. Dracula, le vampire mythique

Comment aborder le thème des vampires sans commencer par le plus connu de tous, j’ai bien entendu nommé le Comte Dracula.

Roman de Bram Stroker écrit en 1897, (et oui, ça date, mais après tout, ça reste « jeunot pour un vampire ^^) il raconte l’histoire du comte Dracula, vampire se nourrissant du sang des humains capable de les transformer à leur tour.

Ce fut un succès sans précédent. La raison ? La personnalité troublante et complexe du personnage central, combiné à l’art de manier le suspense façon Bram Stoker.

Loin de n’être qu’un monstre, ce vampire reste avant tout un humain damné, avec des failles et des nuances qui ne laissent personne indifférent. On le craint, autant qu’on éprouve de l’empathie pour lui. Voilà qui fait toute la magie du personnage.

Plusieurs adaptations cinématographiques ont eu lieu depusi, dont le célèbre film de Francis Ford Coppola.

« Mais ce n’est pas une œuvre de haine. Le pauvre être qui a causé toute cette souffrance est le plus malheureux de tous. Songez quelle sera sa joie à lui aussi quand, son double malfaisant étant détruit, la meilleure part de lui-même survivra, son âme immortelle. Vous devez avoir pitié de lui aussi, sans que cela empêche vos mains de le faire disparaître de ce monde. »

Bram Stoker, Dracula, chapitre 23.

2. Entretien avec un vampire

Anne Rice reste l’une des maîtresses incontestée et incontestable quand il est question de vampires. Sa saga sur le célèbre Lestat de Lioncourt compte pas moins de 10 tomes et a inspiré en 1994 le petit bijou de cinéma qu’est « Entretien avec un vampire, dans lequel nous retrouvons Brad Pitt, Tom Cruise, ainsi que l’actrice Kirsten Dunst enfant. Une merveille !

D’autres films ont vu le jour, grâce aux romans d’Anne Rice, notamment « la reines des damnés », mais aucun n’égale Entretien avec un vampire.

Voici le résumé du film :

San Francisco dans les années 90. Un jeune journaliste, Malloy, s’entretient dans une chambre avec un homme élégant, à l’allure aristocratique et au visage blafard, Louis, qui lui fait de bien étranges confidences. Malloy, subjugué par la séduction de son interlocuteur lui demande, à l’aube, de le faire pénétrer dans son monde, celui des vampires.

« Seul celui qui ne porte aucun intérêt à son existence est parfaitement libre, car il a la force extraordinaire d’être prêt à mourir. »

Anne Rice, Entretien avec un vampire

3. Buffy contre les vampires

Créée en 1997 par Joss Whedon, cette série à bouleversé toute une génération dont j’ai la chance de faire partie ! hello trentenaires ! ☺

La trilogie du samedi soir n’attendait que nous, posté devant M6 pour nous embarqué très loin à l’aide de séries fantastiques. Buffy, c’est l’histoire d’une jeune femme qui découvre être l’élue, comprenez, l’humaine capable de tuer les vampires t autres démons. Lycéenne au départ, la jeune femme découvre ses capacités avec l’aide d’un mentor, Giles, mais doit en parallèle mener la vie normale d’une jeune femme de son âge… ce qui implique une dimension sentimentale évidente, et qui d’autre qu’un vampire pourrait remettre en cause, tout ce pourquoi elle a été conçue ?

Le succès fut phénoménal !

Je l’avoue, j’ai moi même récemment craquée pour le coffret intégrale de la série, tant elle a marqué ma préadolescence. Une héroïne forte, fière, féministe, même, et à l’époque, ça ne courrait pas les rues ! Des thématiques novatrices à la télé, une approche psychologique de l’adolescence, bref, un petit plaisir !

Si bien que quelques années après, les romans adaptés de la série ont suivi !

Bon, qu’on soit clairs : vus les avis sur les romans, cela ne semble pas être du niveau de la série.

En revanche, si vous n’avez encore jamais regardé Buffy, mais qu’attendez-vous ? alors oui, il faudra faire face aux effets spéciaux made in années 1990, mais ça en vaut la peine… Ne serait-ce que pour les deux grandes histoires d’amour de Buffy ? Dans quel camp serez-vous à la fin ?

Moi j’ai le mien ! Depuis… 20 ans ! (la vache, 20 ans déjà… ça fait mal !)

Quel bonheur d’entendre et de revoir ce générique !


« J’ai été en vie bien plus longtemps que toi, et j’ai été mort plus longtemps encore. J’ai vu des choses dont tu n’as pas idée, et j’en ai fait de bien pires encore. Je n’ai pas vraiment la réputation d’être un grand penseur, je marche au goût du sang et mon sang a tendance à n’irriguer que très rarement mon cerveau. Tout ça pour te dire que j’ai fait un paquet d’erreurs, je changerais des tas de choses si je pouvais. J’ai plus de cent ans Buffy, et il n’y a qu’une chose dont je n’ai jamais douté, c’est de toi. »

Buffy contre les vampires. Spike.

4. Twilight

Une chose est certaine, concernant cette saga : elle a déchainé les foules !

Certains ont adoré les livres, détesté les films, et inversement. Beaucoup ont encensé les deux. Pour ma part, j’ai dévoré les 4 romans de Stephenie Meyers et j’ai tout de même trouvé leurs adaptations cinématographiques agréable à visionner, même si moins palpitantes que les textes originaux.

Un romance Young adult qui a fait battre des millions de cœurs dans le monde

Résumé du film :

Isabella Swan, 17 ans, déménage à Forks, petite ville pluvieuse dans l’Etat de Washington, pour vivre avec son père. Elle s’attend à ce que sa nouvelle vie soit aussi ennuyeuse que la ville elle-même. Or, au lycée, elle est terriblement intriguée par le comportement d’une étrange fratrie, deux filles et trois garçons. Bella tombe follement amoureuse de l’un d’eux, Edward Cullen. Une relation sensuelle et dangereuse commence alors entre les deux jeunes gens : lorsque Isabella comprend que Edward est un vampire, il est déjà trop tard

« Je n’ai jamais regretté les décisions qui m’ont mise nez à nez avec la mort, elles m’ont aussi rapprochée d’Edward. »

Fascination, Twilight (1)

5. True Blood

Au départ, il s’agissait d’une saga, intitulée La communauté du sud, écrite pas la plume experte de Charlaine Harris.

En toute transparence, ce fut la première saga vampire que j’ai dévorée à ce point ! Si bien que ce fut l’unique fois où; trop impatiente pour attendre la sortie d’un tome en français, j’ai cédé et acheté la suite en anglais, bien que je ne sois pas bilingue. tant pis, je l’ai lu dans la langue originale, car je ne tenais plus en place.

Charlaine Harris nous emmène dans la petite ville de Bontemps en Louisiane, où les vampires n’ont rien trouvé de mieux que de faire leur coming-out. Mais soyez rassurés (en apparence 😉 ) du sang synthétique vient d’être mis en circulation pour éviter les débordement : le True Blood, une boisson prévue pour les vampires…

Tout va donc pour le mieux, ou pas… tous les vampires n’acceptent pas ce mode de vie, et tous les humains ne tolèrent pas leur existence !

Voilà comment nous découvrons l’existence jusqu’alors paisible de Sookie, jeune serveuse célibataire et curieuse. Orpheline, elle a grandi chez sa grand-mère et a hérité d’un don assez spécial, puisqu’elle entend tout ce que pense les gens autour d’elle…

Très vite, son altruisme la met en danger, lorsqu’elle intervient pour sauver un vampire des griffes d’extrémistes.

Quelques années ensuite, HBO a décidé de donner une chance à la saga en créant la série intitulée True Blood. Plutôt fidèle aux romans, elle est en revanche beaucoup plus sexualisée (parfois trop à) mon goût) que les textes d’origine, mais les personnages sont assez bien campés, notemment grâce à l’acteur Alexander Skarsgaard qui crève clairement l’écran dans le rôle d’Eric Northman, faisant parfois oublier les faiblesses d’Emma Paquin interprétant Sookie Steakhouse.

Danger, sentiments, sexe et rock’n roll caractérisent bien cette série TV.

Pour ma part, les romans sont encore meilleurs !

(Navrée, impossible de mettre la main sur la bande annonce en français, ce sera donc en VO 😉

« Je me souviens de mes mésaventures, de mes doutes, de mes peurs, de ces petits riens qui semblent si graves, je me suis fixé tant de buts dans la vie et pourtant le seul et unique but qui soit important, le but ultime est d’assister à l’aube des temps et de se baigner dans la lumière qui emplie le monde… »

Lafayette, dans True Blood

6. The Vampire Diaries

Impossible de poursuivre notre route sanguinaire sans faire un détour par Mystic Falls ! Elena mène une vie plutôt banale jusqu’à ce qu’un mystérieux Stefan Salvatore débarquent en ville….

C’est le coup de foudre. Leur rapprochement va percer à jour certains secrets concernant l’étrange Stefan et bousculer sa vie tranquille.

Mais ce n’est rien, à côté de la tornade qui s’apprête à souffler : Damon, le frère aîné de Stefan, vient semer la zizanie à Mystic Falls, et peut-être aussi, dans le cœur d’Elena.

Très vite, la jeune femme devra faire face à l’évidence : tous deux ne sont pas humains.

Inspirée du roman Le journal d’un vampire de L. J Smith, cette série est une véritable pépite et son succès à été tel qu’une seconde saga littéraire à été crée à parti des épisodes télévisés. Non, il n’y en a jamais trop lorsqu’il est question de Damon et de Stefan Salvatore !

Série coup de cœur pour moi ! Un trio qui fonctionne et qui crève l’écran !

Je vous laisse avec la bande annonce (VO encore) !

« Cherchez au fond de mon âme, vous tomberez plus bas que vous ne l’êtes déjà. »

Damon, dans The Vampire Diaries

7. The Originals

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Attention, vous avez aimé les frères Salvatore ? Voici la série TV dérivée de The Vampire Diaries, j’ai nommé, the Originals !

Tirée de l’histoire des vampires originels (les fondateurs de l’espèce) dont on fait la connaissance au cours de la première séries, c’est avec joie que l’on retrouve certains personnages hauts en couleurs, tels que Klaus, dans ce spin off.

Il faut un carton ! Soyons clairs ! Pour ma part, j’ai coupé court en fin de saison 1, n’accrochant pas avec l’un des personnages féminins, mais je garde en tête de reprendre prochainement, et peut-être que cette fois-ci cela ira mieux !

En tout cas, l’acteur principal est juste incroyable ! Un charisme brut et bestial digne d’un vampire originel !

« L’amour n’est rien d’autre qu’un piège. La seule vérité… c’est que seul l’amour d’une famille ne meurt pas. »

The Originals

8. Moonlight

Mick St John, détective privé et vampire de son état, arpente les rues de Los Angeles afin de résoudre diverses affaires criminelles, surtout quand celles-ci ont trait avec le surnaturel ou son propre passé de vigilante nocturne. Il en profite pour garder un oeil sur sa protégée Beth Turner, une reporter qu’il surveille de loin depuis qu’il l’a sauvée, enfant, des griffes de celle qui a fait de lui une créature de la nuit. Le temps aidant, Mick s’est finalement épris de la belle avec qui il fît tout de même connaissance, mais, ne sachant que trop bien les problèmes qu’engendrerait une telle relation, se contentera ainsi de son rôle d’ange gardien, la belle lui servant parfois d’indic dans ses quêtes.

Voilà une série que j’ai beaucoup aimé regarder. Le casting fonctionne à merveille et l’intrigue est bien menée. Un duo explosif et touchant à la fois.

Une journaliste trop curieuse, un vampire trop humain, et nous voilà embarqués dans un tourment des plus délicieux !

Décidément, il devient compliqué de retrouver des trailers en français quand les séries ont plus de 5 ans… ce sera donc en anglais, et un trailer non officiel 🙂

« S’il y a bien une chose que j’ai appris en 85 ans,c’est que nos désirs ont souvent peu d’importance. Vous pouvez désirer aller quelque part. Vous pouvez vouloir survivre. Mais si l’univers en a décidé autrement, vous aurez beau vous enfuir, vous ne pourrez pas échapper à votre destin. »

Mick St John, Moonlight

9. Les Larmes rouges

Si je ne devais ne retenir qu’une saga littéraire sur les vampires, sans aucune hésitation, mon coup de cœur irait à la trilogie Les larmes Rouges de Georgia Caldera. Et oui, une romancière française !

Amoureux des vampires, cette trilogie est un joyau, un écrin de velours qui nous conte une histoire avec passion, danger et frissons.

La plume de Georgia est poétique, sombre et envoûtante.

La saga a depuis peu fait peau neuve avec de sublimes couvertures, une fois encore, plongeant parfaitement dans l’univers torturé de Cornélia et de Henri.

la lecture de cette trilogie est un voyage inoubliable, de ceux qui marquent à jamais nos mémoires de lecteurs.

Résumé :

« Le temps n est rien, il est des histoires qui traversent les siècles… »

Après une tentative désespérée pour en finir avec la vie, Cornélia, 19 ans, est assaillie de visions et de cauchemars de plus en plus prenants et angoissants.
Elle se retrouve alors plongée dans un univers sombre et déroutant, où le songe se confond à s y méprendre avec la réalité.

« Les sentiments sont propres aux humains, Cornélia. Je suis un vampire, mon coeur ne bat plus, et ce, depuis presque cinq cents ans. Tout est mort en moi… Définitivement mort, répéta-t-il, maussade. Trop de vie, j’imagine. Trop de morts aussi… L’indifférence et l’insensibilité sont le lot de tous ceux de mon espèce qui ont passé un peu trop de temps en ce bas monde. Ces émotions ne sont jamais que les reliques de notre humanité perdue. De vieux souvenirs en somme. Et, en ce sens, on ne peut pas dire que cela soit regrettable, c’est le remède à bien des maux, crois-moi. »

Les Larmes rouges, 1. Réminiscences, Georgia Caldera.

10. Anita Blake

C’est avec Anita Blake, saga écrite par Laurell K. Hamilton, que je conclue ce top 10 des références que je trouve incontournable quand on désire découvrir l’univers des vampires.

Voilà une saga adulte qui déménage ! Esprits sensibles, fuyez !
On frôle les limites à plusieurs reprises, comme aimait le faire aussi la saga télé True Blood.

Voici le résumé du tome 1, intitulé Plaisirs coupables !

« Mon nom est Blake, Anita Blake. Les vampires, eux, m’appellent « l’Exécutrice » et par égard pour les oreilles les plus chastes, je ne vous dirai pas comment, moi, je les appelle. Ma spécialité, au départ, c’était plutôt les zombies. Je relève les morts à la nuit tombée pour une petite PME. Ce n’est pas toujours très exaltant et mon patron m’exploite honteusement, mais quand on a un vrai don, ce serait idiot de ne pas s’en servir. Tuer des vampires, c’est autre chose, une vieille passion liée à des souvenirs d’enfance. Depuis qu’ils sont officiellement reconnus et ont pignon sur rue, ils se croient tout permis. Certes, il yen a de charmants, voire très sexy, mais il y en a aussi qui abusent. Ceux-là je les élimine. Rien de tel pour garder la forme : ça vous fouette le sang ! »

Vous l’aurez donc compris, nous avons là affaire à une héroïne survitaminée au caractère de louve ! Si cela ne vous effraie pas plus qu’un franc parler tiré d’une grotte d’ours, foncez ! C’est addictif et c’est même délicieux !

Je vous préviens, il existe plus d’une vingtaine de tomes ! De quoi vous faire voyager des semaines durant ! Bonne route !

« Sur notre gauche, je vis quelques boutiques, une résidence, un jardin public, puis un cimetière et une maison de retraite. Je me suis toujours demandé si les promoteurs ont fait exprès de la construire à proximité. Pour des raisons pratiques peut-être?Le cimetière est là depuis beaucoup plus longtemps que la maison de retraite. Certaines pierres tombales datent du début du XIXe siècle. Il faut vraiment être sadique pour forcer des petits vieux à contempler ce qui les attend par la fenêtre de leur chambre. »

Anita Blake, Laurell K. Hamilton

En bref

Vous l’aurez compris, les bonnes références ne manquent pas pour plonger ou replonger avec amour dans cet univers fascinant qu’est celui des vampires.

Ceci n’était qu’un top 10 et il reste encore bien d’autres pépites littéraires, cinématographiques et télévisées à découvrir !

J’espère que ma saga Harper Jones saura trouver sa place dans vos top 10 #vampires !

Justement, si vous me disiez quelles sont vos préférences à vous ?

À très bientôt !

Blandine

PS : Hey, tu ne veux rien manquer des coulisses de mes romans ? Alors deviens un lecteur VIP !

lecture gratuite

4 Lectures en cadeau !

Avec la participation de quelques amies romancières, nous avons décidé de vous chouchouter !
Et puisque nous connaissons votre amour pour les histoires qui font voyager, ce n’est pas un cadeau mais 4 que nous vous proposons !

?

4 romancières, 4 univers, 4 voyages.
Chacune à sa propre plume, et aime écrire dans divers genres. Mais pour cette fois, ce sont des écrits emplis de magie et de créatures fantastiques que je vous propose de découvrir.

? Tu aimes les vampires ? Angélique Malakh te propose de découvrir « Mordante rencontre ».
Lorsque Mélie rentre de son travail, elle est loin d’imaginer que son altruisme légendaire la conduira dans un monde sanguinaire où, seuls les vampires, les plus puissants survivent…
••► http://bit.ly/Mordante-rencontre

? Tu préfères les contes urbains ? Alors l’univers de Jo Ann von Haff est sans doute fait pour toi. Aucelaire, ville magique aux portes de Paris, abrite des personnages inspirés de contes d’antan. Dans « Les Larmes du petit Poucet », découvrons le secret le mieux gardé de la ville…
••► http://bit.ly/LarmesDuPetitPoucet

? Si tu as un penchant pour les loups-garous, je t’invite à t’aventurer dans le monde de Mélanie de Coster avec
« Complètement mordu », où un jeune sorcier est en train de se transformer en loup-garou… Entre sa lutte contre cette malédiction et l’attirance qu’il éprouve pour son ennemi, le combat s’annonce épique.
••► http://bit.ly/ComplètementMordu

? Enfin, si l’univers des anges t’intrigue, rejoint Clémentine dans sa quête de la vérité, dans ma nouvelle « Raphaël ». Cette journaliste a un avis sur tout, et particulièrement sur la gent masculine. Mais une erreur de destinataire lors de l’envoi d’un email va être l’occasion de revoir ses aprioris… et plus encore.
••► http://bit.ly/Raphaël-cadeau

J’espère que ces petites lectures sauront vous faire rêver !

Bonne lecture !

Blandine ?

girlpower

#GirlPower dans les romans

? • • • ELLES • • • ?

« Parfois, c’est la princesse qui tue le dragon et qui sauve le prince. »
Samuel Lowe.

Parlons peu, parlons bien.
Je ne sais pas vous, mais pour ma part, j’aime les héroïnes qui relèvent la tête et sont capables de renvoyer les personnages masculins dans leurs 22 quand il le faut.
Quelle que soit ma lecture, mon écriture du moment, et quelle que soit la situation et l’état d’esprit du personnage féminin au départ, j’attends d’elle qu’elle évolue au fil des pages et qu’elle ose enfin prendre en main son destin sans attendre d’aide de la part d’un quelconque prince charmant.
Les temps ont changé, et désormais il est l’heure de ranger au placard les héroïnes qui acceptent jusqu’au bout de se laisser marcher dessus. * Mode badass * activé et assumé !
J’aime que chaque roman véhicule des valeurs auxquelles je crois, et pour mes écrits, je tiens à m’assurer qu’ils transmettent de véritables messages, notamment concernant les droits des femmes, sujet qui me semble essentiel au vue de la situation actuelle des choses dans le monde.
Qu’on le veuille ou non, en tant que romanciers, nous avons cette responsabilité, celle du choix des messages colportés par nos écrits.
Alors vive les personnages féminins forts et indépendants !

S’il y en a bien une qui montre la voie, c’est Charlie, cette tempête blonde et rebelle qui chamboule Casey dans Wild Son. L’avez-vous rencontrée ? Quelque chose me dit que si c’est le cas, vous vous en souviendrez

La preuve en extrait ! ?

❝ Un énième connard ivre mort avait décidé de me pourrir la soirée en tentant de me peloter durant mon round sur le comptoir. Fidèle à moi-même, je ne m’étais pas laissé faire et lui avait expliqué le Code de la route à ma façon. Casey avait débarqué là comme un prince charmant à l’ego surdimensionné.
Il avait omis un détail : dans le monde dans lequel je vivais, j’avais appris à me débrouiller seule, et non, il n’y avait aucune princesse en détresse à sauver. Il l’avait compris, je pense, en me voyant exploser la tête du grand gaillard qui avait posé la main sur moi.
Eh oui, le vieux schéma de la pauvre fille ayant besoin du mauvais garçon pour la tirer d’affaire, c’était dépassé. Bon, OK, sa présence sur le coup m’avait malgré tout confortée dans ma vendetta, mais avec ou sans lui, j’aurais agi ainsi. Je n’avais pas pour habitude de miser sur les gens et sur leur aide éventuelle. C’était comme ça qu’on parvenait à avancer, en ne comptant que sur soi. ❞

? Envie d’en découvrir plus ?
PAR ICI

Festival du roman féminin : le bilan

Le week-end dernier, j’ai eu l’honneur de participer au Festival du roman féminin en tant qu’auteur invité.

Ce fut un moment intense sur lequel je reviens pour vous avec beaucoup de plaisir !

Tout a débuté par la journée auteurs prévue le jeudi. Nous étions 17 romancières à participer, l’occasion de toutes apprendre à se connaître et d’échanger sur des thématiques liées à notre activité. Nous avons pu profiter des interventions de Julie Huleux, d’Olivia Rigal, de Camille de chez Kobo, et de Julie de chez BOD. Une journée placée sous le signe de la bonne humeur et de la convivialité.
Je ne manquerai pas d’y participer l’année prochaine !

Dès le vendredi, le grand bain nous attendait toutes ! Pour ma part, je débutais les conférences dès 9h avec une intervention qui me correspondait complètement, à savoir : L’autoédition, un choix judicieux ?

C’est en compagnie de Céline Theeuws et de Linda Catherine que nous avons abordé nos expériences respectives en tant que romancières indépendantes / hybrides, répondant sans tabou aux questions des personnes venues assister à cette conférence, échangeant sans langue de bois. Face à la satisfaction que toutes éprouvions face à notre parcours en tant qu’indés, Lys, notre adorable animatrice a conclu la séance en résumant par un « oui », à la question posée dans la thématique. Nous avions toutes trois délibérément choisi l’indépendance, et étions ravies de la liberté propre à ce statut. Céline ne fermait pas les portes à une publication chez un éditeur, Linda ne l’envisageait pas forcément. Me concernant, étant déjà publiée chez divers éditeurs avant de choisir l’indépendance, je ne ferme pas les portes définitivement, mais me montrerais extrêmement exigeante en cas de proposition, et n’accepterais plus de confier des sagas à ces derniers, seulement des livres ayant déjà vécu en indépendant.

Suite à cela, j’ai pu profiter d’une petite pause pour observer les meet & greet des copines auteurs dans une superbe ambiance, et me suis même faite alpaguée par nos lectrices en commun, alors que mon propre meet & greet débutait l’heure suivante. J’ai eu la chance de rencontrer de nombreuses lectrices, de revoir certaines que je connaissais déjà et d’en découvrir de nouvelles. Tout s’est déroulé dans une atmosphère ultra chaleureuse, avec beaucoup de bienveillance et de chouettes moments de rire partagés. On a même débordé un peu sur le créneau prévu et avons fini les dédicaces à droite, à gauche, où l’on pouvait, le tout dans une ambiance super détendue ! Que du bonheur !

Après une pause déjeuner très sympathique avec les copines romancières et lectrices, retour au MAS pour la conférence que j’attendais avec le plus d’impatience, celle traitant de la place des femmes chez les bikers ! Joan, l’animatrice, a abordé plusieurs points concernant ce sujet passionnant, et c’est en compagnie de Olivia Rigal et de Ana Scott que j’ai pu faire entendre ma voix sur cette thématique qui me tient à cœur. Chacune avait sa propre vision des choses, et si pas mal de points se recoupaient, une vérité résonnait dans la salle : entre fiction et réalité, il y a un monde, il ne faut pas confondre les deux. À la question : avez-vous rencontré et échangé avec des femmes de bikers, j’ai pu affirmer que c’était mon cas, puisque je tenais à m’appuyer sur du concret pour respecter au mieux le monde des bikers sans en bafouer les codes, et c’est donc avec un plaisir certain que j’ai pu partagé avec les lectrices, et au fil de leurs questions, le cas concret des femmes dans ce monde d’hommes, trop souvent soumises à des clichés surexploités. Loin de l’image de « puputes à bikers », les femmes ayant fait leur place dans cet univers sont des femmes au fort tempérament, sans quoi, elle n’aurait jamais pu y rester. Si elles sont mises à l’écart du business de manière générale, elles ont leur rôle à jouer et sont bien loin des clichés ambulants que certaines fictions laissent croire. Un sujet important, traité avec passion par les lectrices présentes et mes consœurs romancières. Ce fut l’occasion d’échanges très intéressants et de réels moments de partage.

J’ai profité d’une pause dans mon planning pour aller écouter les lecture des copines Shelby Kaly et Pascale Stephens. L’occasion de redécouvrir un bout du tome 1 de Black Fidelity et de me laisser happée par Speed Game ! (Résultat, il est désormais dans ma PAL !)

Place ensuite à la conférence Liaisons controversées : “frère” (famille recomposée), héros marié, petit ami de la meilleure amie, différence d’âge. C’est en tant que spectatrice que je m’y suis rendue, et j’y ai passé un excellent moment. Ce fut une conférence très animée, parsemée de rires et d’avis passionnés. Pour aborder ce thème, Fabiola animait la séance, et on a pu compter sur Farah Anah, Emma Green, Diane Hart, et Mariana pour nous parler de leur vision des choses. Un point à été mis en avant par les spectatrices : bien souvent les relations mettant en scène une différence d’âge entre les personnages sont en faveur d’un homme plus âgé que l’héroïne. Rarement, le cas des femmes plus âgées que leur conjoint est cité.

La question a également été posée concernant les limites de l’acceptable, la frontière avec la dark romance. Si chaque auteur se fixe ses propres barrières, le cadre de la romance impose lui aussi de rester dans une certaine retenue, ou tout du moins, de ne pas dépasser un certain seuil de moralité. (sans quoi, ne ne serions plus dans de la romance).

À 17h, j’avais rendez-vous avec la romance historique, et cette fois-ci, entourée d’auteurs internationales ! (Mais non, je n’avais pas du tout les chocottes… si peu !) ce fut l’occasion de rencontrer Anna Campbell, Julie Dauge, et Cathy Maxwell ! Le thème ? L’Écosse, cadre classique de la romance. Parce que j’ai écrit une romance historique, Sons of Alba, j’ai eu la chance de me retrouver parmi cette brochette de romancières pour parler de la terre des Highlanders, sous la gouverne de Francesca, animatrice de la conférence. Beaucoup de rires au rendez-vous, notamment grâce à nos consœurs anglophones pour qui les Highlanders représentaient l’atout majeur des romances écossaises. Les hommes en kilt avaient leurs fans et l’humour était de mise ! Nous tombions toutes d’accord sur la magie omniprésente dans les paysages sauvages d’Écosse et ses traditions, mais aussi sur la fierté que dégage ses habitants, tant les femmes, indépendantes et fortes, que les hommes, virils et imposants. Nous avons évidemment abordé la saga de Diana Gabaldon, qui a fait connaître la romance écossaise à un public plus large et avons partagé un excellent moment face à des lectrices passionnées.

JOUR 2.

La fatigue est mise de côté pour cette ultime journée !

Dès 10h, je suis intervenue sur la conférence : faire traduire ses romans, en compagnie de Lisa Marie Rice et Lacey Silks, en petite frenchie perdue au milieu des géantes. 🙂 Aurélie du blog The lovely teacher addiction menait la danse dans cette conférence, nous permettant à toutes d’échanger sur nos parcours respectifs vis-à-vis de la traduction des romans. De nos discussions sont ressortis certains faits : faire traduire ses romans à un coût très important (plusieurs milliers d’euros par livre, en général, à moins de connaître quelqu’un, et de bénéficier de tarifs moins onéreux, ce qui a été mon cas pour les Wild Crows) et c’est un pari risqué, car ce qui marche dans un pays peut ne pas du tout fonctionner ailleurs; chaque pays dispose de ses propres codes, de son lectorat bien spécifique. Enfin, le plus complexe reste la promotion, dans une langue qu’on ne maîtrise pas. Si l’idéal serait de bien s’entourer, d’une équipe prévue pour cela, il est évident que c’est rarement possible.

Lisa Marie Rice a également appuyé sur le fait que si un éditeur prend tous les frais en charge, le rapport entre l’auteur et le traducteur est bien souvent inexistant. Pour un auteur indépendant, les frais sont à sa charge mais il peut échanger directement avec le traducteur, ce qui est clairement un plus pour respecter au mieux l’oeuvre de départ.

À 11h, j’ai eu le plaisir de participer à un atelier d’écriture organisé par Julie Huleux. Romancières et lectrices ont formé de petits groupes. Chaque auteur choisissait l’un de ces personnage et partaient d’une idée de départ pour une intrigue. Ce fut l’un des moments les plus amusant de tout le festival ! J’ai partagé ce jeu avec Pascale Stephen, Jennifer Pourrat, et Julie Bradfert, chacune ayant choisi un personnage haut en couleurs, et j’ai opté pour le perso de Charlie de Wild Son. Nous nous retrouvions donc avec :
– Une tornade blonde au tempérament de feu et élevée par des bikers (Charlie)
– Un riche héritier propriétaire de caves de vin (Matt de Jennifer Pourrat)
– Un pilote de moto dragueur et sûr de lui ( Frantz de Pascale Stephens)
– Une jeune femme brute de décoffrage et ouvertement gay (Amber, de Julie Bradfert)
Tous trois allaient se rencontrer dans l’une des caves du riche héritier… et c’est à partir de là que l’imaginaire des lectrices à fait le reste du travail, avec notre participation. Entre deux fous rires, nous avons fini par inventer une courte histoire clairement humouristique. Tour à tour, chaque groupe allait lire sa petite histoire devant les autres. On se souviendra longtemps de l’avion de Emma Green, du chat de Chani Brooks et de l’ange lumineux dans l’ascenseur ! Un excellent moment pour tous !

14h : L’instant tant redouté pour ma part : ma toute première lecture. Ce fut l’occasion de rencontrer Carine Pitocchi. Manque de bol, au même instant, BMR offrait une vingtaine de livres dans la salle juste à côté déclenchant un brouhaha d’enfer. Si j’ai pu mener à bien ma lecture avant le début des « festivités », ma consoeur a terminé la sienne dans un escalier, afin de trouver un endroit où on pouvait l’entendre. Je salue son professionnalisme et sa détermination !

Un très grand merci aux lectrices venues malgré tout écouter nos petites lectures dans une ambiance très conviviale.

En coupure de 15 à 16h, j’en ai ensuite profité pour papoter dans les couloirs et me laisser interviewer par Les Romance de Clari. Merci aux filles pour ce chouette moment ! Pour retrouver l’interview vidéo, c’est ici !

Le week-end se termine sur deux heures de dédicace intenses. J’ai tout juste eu le temps de partir prendre mon train pour ne pas le manquer, tant j’ai eu la chance de vous voir nombreuses venir chercher le tome 1 des Wild Crows.

Deux jours inoubliables, chargés d’émotions, d’enseignements, d’échanges, deux jours qui ont reboosté à fond mes batteries ! Des rencontres, des retrouvailles, des sourires et des souvenirs, que demander de plus ? J’espère pouvoir revenir l’an prochain !

Un grand merci à tous les lecteurs étant venus me faire un petit coucou, mais aussi aux copines romancières que j’ai eu la chance de retrouver pour certaines, et de rencontrer pour d’autres ! Merci enfin à l’organisation, aux petits soins, toujours avec le sourire.

La magie du FRF continuera bien après ce fameux week-end.

traduction de romans

De nouvelles traduction attendues !

❝Et il n’est rien de plus beau que l’instant qui précède le voyage, l’instant où l’horizon de demain vient nous rendre visite et nous dire ses promesses.❞ Milan Kundera

La liste des traduction en cours ne cesse de grandir ! Mes personnages ont décidé de voir du pays ! Ou plutôt, des pays ! ✈

? Alors que le tome 1 des Wild Crows existe déjà en anglais, que le tome 2 est prévu pour cet été, c’est la version espagnole qui se met en place ! Le tome 1 vient d’être terminé est sera mis en route dans la semaine ! Et on prononce « Adiccion » s’il vous plaît ! ☺ (oui, avec le cheveux sur la langue !) Les bikers de Monty Valley deviennent internationaux !

? De son côté, « Happiness Palace » est également en cours de traduction en anglais. Amy et Zach vont apporter leur douceur « feel good » aux anglophones !

? Enfin, nouveauté depuis hier : « Quelque chose de bleu », ma comédie romantique, sera également traduite en anglais durant l’année à venir ! La musique des Dark Alchemy ne semble pas connaître de frontière !

Que de bonnes nouvelles pour mes personnages ! En tant que passionnée de voyage, routarde dans l’âme, j’accueille ces nouvelles avec une euphorie toute particulière ! ?

❓ Et vous, aimez-vous voyager ? Les livres sont un voyage également,, une jolie manière de s’évader. Un voyage de l’esprit !