girlpower

#GirlPower dans les romans

🌾 ‱ ‱ ‱ ELLES ‱ ‱ ‱ 🌾

« Parfois, c’est la princesse qui tue le dragon et qui sauve le prince. »
Samuel Lowe.

Parlons peu, parlons bien.
Je ne sais pas vous, mais pour ma part, j’aime les hĂ©roĂŻnes qui relĂšvent la tĂȘte et sont capables de renvoyer les personnages masculins dans leurs 22 quand il le faut.
Quelle que soit ma lecture, mon Ă©criture du moment, et quelle que soit la situation et l’Ă©tat d’esprit du personnage fĂ©minin au dĂ©part, j’attends d’elle qu’elle Ă©volue au fil des pages et qu’elle ose enfin prendre en main son destin sans attendre d’aide de la part d’un quelconque prince charmant.
Les temps ont changĂ©, et dĂ©sormais il est l’heure de ranger au placard les hĂ©roĂŻnes qui acceptent jusqu’au bout de se laisser marcher dessus. * Mode badass * activĂ© et assumĂ© !
J’aime que chaque roman vĂ©hicule des valeurs auxquelles je crois, et pour mes Ă©crits, je tiens Ă  m’assurer qu’ils transmettent de vĂ©ritables messages, notamment concernant les droits des femmes, sujet qui me semble essentiel au vue de la situation actuelle des choses dans le monde.
Qu’on le veuille ou non, en tant que romanciers, nous avons cette responsabilitĂ©, celle du choix des messages colportĂ©s par nos Ă©crits.
Alors vive les personnages féminins forts et indépendants !

S’il y en a bien une qui montre la voie, c’est Charlie, cette tempĂȘte blonde et rebelle qui chamboule Casey dans Wild Son. L’avez-vous rencontrĂ©e ? Quelque chose me dit que si c’est le cas, vous vous en souviendrez

La preuve en extrait ! 😎

❝ Un Ă©niĂšme connard ivre mort avait dĂ©cidĂ© de me pourrir la soirĂ©e en tentant de me peloter durant mon round sur le comptoir. FidĂšle Ă  moi-mĂȘme, je ne m’étais pas laissĂ© faire et lui avait expliquĂ© le Code de la route Ă  ma façon. Casey avait dĂ©barquĂ© lĂ  comme un prince charmant Ă  l’ego surdimensionnĂ©.
Il avait omis un dĂ©tail : dans le monde dans lequel je vivais, j’avais appris Ă  me dĂ©brouiller seule, et non, il n’y avait aucune princesse en dĂ©tresse Ă  sauver. Il l’avait compris, je pense, en me voyant exploser la tĂȘte du grand gaillard qui avait posĂ© la main sur moi.
Eh oui, le vieux schĂ©ma de la pauvre fille ayant besoin du mauvais garçon pour la tirer d’affaire, c’était dĂ©passĂ©. Bon, OK, sa prĂ©sence sur le coup m’avait malgrĂ© tout confortĂ©e dans ma vendetta, mais avec ou sans lui, j’aurais agi ainsi. Je n’avais pas pour habitude de miser sur les gens et sur leur aide Ă©ventuelle. C’était comme ça qu’on parvenait Ă  avancer, en ne comptant que sur soi. ❞

đŸ”„ Envie d’en dĂ©couvrir plus ?
➄ PAR ICI

Vous pourriez Ă©galement aimer...

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *